Fugu à Fuku…. Et toujours vivant !

Encore une spécialité japonaise… qui fait trembler : le Fugu, le diodon ou encore poisson coffre. Un délice pour les Japonais, mais il y a un « hic » : ses viscères contiennent une toxine mortelle qui paralyse les muscles des humains. Manger de la chair contaminée, c’est se voir mourir à petit feu… la victime gardant toute sa conscience jusqu’à ce que sa respiration s’arrête ! Et il n’y a pas d’antidote ! Charmant ! Mais pas de panique, s’il est proprement préparé par un cuisinier spécialement formé, alors sa consommation est sans danger. Comme nous le constatons au terme de ce délicieux repas partagé avec Nori au restaurant.

Au menu :

-« Nabe » : un mélange de fines tranches de porc et de légumes, cuit dans u bouillon, à même votre table.

-shashimi de divers thons (Yellow fin et  Pacific blue fin)

Sans oublier les accompagnements allant du riz  à la soupe miso, en passant par le flan aux œufs et légumes ou encore les tempuras de crevettes et de légumes.

-dessert : un flan à la menthe fraîche et glace vanille

Et bien sûr le fameux Fugu, en un petit shashimi (vu le prix). En fait c’est du Fugu d’été, une espèce moins réputée que celui d’hiver, plus gros et présenté dans des compositions aussi esthétiques que raffinées.

Une occasion de plus de profiter de la cuisine japonaise qui va bien au-delà des shushi ou shashimi.

Et pas seulement au restaurant. Chaque supermarché rivalise de propositions, de plats en tout genre… le tout emballé, suremballé même dans de multiples barquettes pour quelques centaines de yens seulement (100 yens = 80 centimes). Pas besoin de se casser la tête à faire la cuisine. Les « apéros » dinatoires se multiplient…

Seule la poubelle est victime d’une indigestion de plastiques !

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