(Par Sylvie)
Tout d’abord le paradoxe. A vous de choisir qui des petits jizo ou des singes sont les plus sages.

Et si c’était l’animal ? Haï, haï !

Ensuite le Kagura. Danse théâtrale rituelle, exécutées à l’origine par les assistantes prêtresses pour remercier la Nature de ses bienfaits et distraire les dieux. Aujourd’hui, le Kagura fait partie du la tradition populaire et folklorique japonaises. Il est dansé par des hommes, au son du tambour et de la flûte, tandis qu’un chœur d’homme scande le récit merveilleux. Le spectacle que nous avons découvert au théâtre de Hiroshima, conte l’histoire du combat (victorieux, bien sûr) du bon et valeureux Samourai contre le démon. Certains costumes pèsent plus de 20 kilos. Ce qui n’empêche pas les danseurs de virevolter comme des toupilles en jouant gracieusement de leurs éventails et de de bondir dans les scènes féroces de combats. Grâce et violence !

Enfin, la promesse de jours radieux passe comme toujours par les mêmes vecteurs !

